Membre du comité de pilotage de l'enquête, le RNMA s'associe à cette étude d’ampleur nationale pour analyser les relations entre associations et pouvoirs publics.
Webinaire de présentation le 18 octobre de 12h à
13h, sur ce lien visio.L’occasion de présenter les enjeux de l’enquête et l’importance du travail d’objectivation des relations associations/pouvoirs publics pour le monde associatif.
Présentation de l’étude nationale sur les relations entre les associations et les pouvoirs publics
Pour la première fois, une équipe de recherche mène une étude d’ampleur nationale pour analyser les relations entre associations et pouvoirs publics :
Quel est l’état des relations entre monde associatif et pouvoirs publics ?
Quelles sont les conditions de leur coopération ?
Quelles sont les limites et difficultés rencontrées par les associations ?
En quoi l’état de ces relations influe-t-il sur les libertés associatives ?
Comment a été vécue la création du Contrat d’engagement républicain (CER) ?
Le monde associatif français, riche de plus d’un million d’associations et de millions de contributions bénévoles et salariées, prend en charge des pans entiers de l’intérêt général, nourrit la cohésion sociale, accompagne les grandes mutations sociétales, et contribue activement à la vitalité démocratique. Pourtant, son rôle et ses contributions font depuis quelques années l’objet d’intenses discussions, tandis que ses financements et son encadrement réglementaire évoluent. Cette étude d’une ampleur inédite permettra d’éclairer la question structurante que constitue l’état des relations entre monde associatif et pouvoirs publics. Elle est coordonnée par l’équipe du projet « Libertés associatives et initiatives citoyennes » soutenu par l’Agence nationale de la recherche, en concertation avec les principales têtes de réseaux associatives. Les premiers résultats de l’analyse seront rendus publics au printemps 2025.
Le questionnaire s’adresse à l’ensemble du monde associatif : les associations de toute taille, secteur d’activités, et implantation géographique, avec ou sans salariés, ainsi que les associations de fait et les collectifs informels, sont invités à répondre. Il doit être rempli par un-e responsable associatif-ve (directeur-rice ou président-e dans le cas d’une association formelle). Afin de pouvoir aboutir à des résultats riches et représentatifs, plus d’un millier de réponses doivent être réunies.
Aidez à éclairer cette question d’importance majeure pour le monde associatif : répondez au questionnaire avant le 15 novembre et relayez-le largement autour de vous. Merci.
➤ lien vers l’enquête